dimanche 14 novembre 2010


Paris, janvier 2010

1 commentaire:

  1. j'aime beaucoup celle-là aussi : les personnages flous ont quelque chose de fragile, renforcé par l'appui que le personnage noir semble nécessiter sur son parapluie. L'enseigne comme un rêve inaccessible, comme une promesse trop belle pour les personnages ; et on est avec eux, on n'ose pas y croire.

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