mardi 30 novembre 2010

Nadège X ou Label rouge

Triggerfinger @ La Salle Marcillet.

Photo Sony



Il y a un petit clin d'oeil pour ceux qui me connaissent

dimanche 28 novembre 2010

A la recherche d'un homme




















Toujours en voyage, et tous ces regards.

vendredi 26 novembre 2010

Suburbs

jeudi 25 novembre 2010

Quelques Photographes

Voici quelques photographes que j'aime (malheureusement tous n'ont pas de site)

Celui qui fut mon chef (Mamiya 7 et M9) :
http://www.photo-maupetit.com/

Un qui a du style (malgré son jeune âge) et qui travaille pour l'AFP (M9) :
http://www.jeff-pachoud.com/

Un qui aura bientôt un site : Arnaud Finistre

Mon préféré de chez Magnum :
http://www.magnumphotos.com/Archive/C.aspx?VP=XSpecific_MAG.StaticPage_VPage&SP=photographers_list

Mon préféré tout court (chambre 20x25, crâneur !):
http://www.galerie-photo.com/gregory-crewdson.html

Des anciens :
http://www.avant-midi.com/ (Stéphane Doulé, Thierry Caron, Christophe Caudroy. Camille Millerand a fait un BTS Photo)
http://jean-robert.dantou.book.picturetank.com/ (travaille entre autre à la chambre)

Un classique :
http://www.massimovitali.com/

Un autre classique :
http://www.galerie-photo.com/stephen-shore.html

Une petite galerie du 11ème :
http://leesoonyoung.free.fr/

Des découvertes Paris Photo :
http://www.jeffbrouws.com/series/main.html (qui a entre autre fait une série sur les caméras de surveillance)
http://www.artnet.fr/galleries/Artwork_Detail.asp?G=&gid=115003&which=&aid=1202&wid=425696639&source=inventory&rta=http://www.artnet.fr (Marina Abramovic)
http://philippechancel.com/ (ses photos d'archi sont démentes)
http://www.tomobrejc.com/ (ses travaux perso sont extras)
http://www.cedricdelsaux.com/# (ouf !)
http://www.jiriturek.com/ (pour les adeptes du flou)
http://www.evaleitolf.de/ (je suspecte encore de la chambre).

Enjoy !

mercredi 24 novembre 2010

In focus (how to disappear)



Photo pour le concours Sony

mardi 23 novembre 2010

Une photo


Les lecteurs de l'Espresso se souviennent probablement de la retranscription de l'enregistrement des dernières  minutes de Radio Alice, pendant que la police enfonçait la porte. Beaucoup ont dû être frappés par le fait que l'un des speakers, tandis qu'il racontait d'une voix tendue ce qui se passait, essayait d'en rendre l'idée en se référant à une scène de film. La situation d'un individu en train de vivre une scène assez traumatisante comme s'il était au cinéma était tout à fait singulière.
                Il ne pouvait y avoir que deux interprétations. L'une, traditionnelle : la vie est vécue comme une œuvre d'art. L'autre nous oblige à quelques réflexions supplémentaires : c'est l'œuvre visuelle (le cinéma, la vidéo, l'image murale, la B.D., la photo) qui fait désormais partie de notre mémoire. Cette interprétation est assez différente de la première et semblerait confirmer une hypothèque déjà avancée, c'est-à-dire que les nouvelles générations ont projeté comme composants de leurs comportements une série d'éléments filtrés à travers les médias (et certains provenant des zones les plus inaccessibles de l'expérimentation artistique de ce siècle). A dire vrai, ce n'est même pas la peine de parler de nouvelles générations : il suffit d'appartenir à la génération intermédiaire pour avoir  éprouvé à quel point le vécu (amour, peur ou espoir) est filtré à travers des images "déjà vues". Je laisse aux moralistes la condamnation de cette façon de vivre par communication interposée. Il faut simplement rappeler que l'humanité n'a jamais agi autrement et avant Nadar et les frères Lumière, elle a utilisé d'autres images tirée des bas-reliefs païens ou des miniatures de l'Apocalypse.
                Maintenant il faut prévoir une autre objection, cette fois-ci non pas de la part de ceux qui ont le culte de la tradition : ne serait-ce pas au fond un exemple désagréable d'idéologie de la neutralité scientifique que de tenter, encore et toujours, face à des comportements en acte et à des événements brûlants et dramatiques, de les analyser, de les définir, de les interpréter, de les disséquer ? Peut-on définir ce qui par définition se soustrait à toute définition ? Eh bien, il faut avoir le courage de réaffirmer encore une fois ses convictions : jamais comme aujourd'hui l'actualité politique n'a été traversée, motivée et abondamment nourrie par le symbolique. C'est faire de la politique que de comprendre les mécanismes du symbolique à travers lesquels nous bougeons. Ne pas les comprendre conduit à faire une politique erronée. Certes, réduire les faits politiques et économiques aux seuls mécanismes symbolique est une erreur : mais ignorer cette dimension l'est aussi.
                Parmi les nombreuses et graves raisons qui ont été déterminantes dans l'échec de l'intervention de Lama [au mois de mars 1977, le chef des trois confédérations syndicales italiennes, Lama, a tenté de faire un discours aux étudiants - appartenant en majorité aux groupes "autonomes" - occupant l'université de Rome, lesquels l'en ont empêché par des actions violentes (N.D.T.)] à l'université de Rome, il faut en retenir surtout une : l'opposition entre deux structures théâtrales ou spatiales. Lama s'est présenté sur un podium (bien qu'improvisé), et donc selon les règles d'une communications frontale typique de la spatialité syndicale et ouvrière, à une masse d'étudiants qui a au contraire élaboré d'autres modes d'agrégations et d'interactions, des modes décentralisés, mobiles ou en apparence désorganisés. Il s'agit d'une autre forme d'organisation de l'espace, et ce jour-là à l'université s'est produit aussi un conflit entre deux conceptions de la perspective, l'une, disons, à la Brunelleschi et l'autre cubiste. Bien sûr, on aurait tort de réduire toute l'histoire à ces deux facteurs, mais on aurait également tort de liquider cette interprétation comme un divertissement intellectuel. L'Eglise catholique, la Révolution Française, le nazisme, l'Unions soviétique et la Chine populaire, sans parler des Rolling Stones et des équipes de football, ont toujours très bien su que l'organisation de l'espace était religion, politique, idéologie. Rendons donc au spatial et au visuel la place qui leur revient dans l'histoire des rapports politiques et sociaux.
                Abordons maintenant un autre fait. Dernièrement, à l'intérieur de cette expérience variée et mobile qu'on a appelée le "mouvement", sont apparus les hommes de la P. 38 [Du nom du pistolet de calibre 38 invoqué comme instrument de justice sociale et de réalisation personnelle de la part de certaines factions des "autonomes" (N.D.T.)]. Plusieurs instances intérieurs ou extérieures au mouvement ont demandé à celui-ci de les reconnaître comme un corps étranger. On a eu l'impression qu'un refus rencontrait des difficultés et cela pour plusieurs raisons. Disons en quelques mots que beaucoup de participants au mouvement ne se sentirent pas capables de reconnaître comme étrangères des forces qui, même si elles se manifestaient de façon inacceptable et tragiquement suicidaire, semblaient exprimer une réalité de marginalisation qu'on ne voulait pas renier. En deux mots, on disait : ils se trompent, mais ils font partir d'un mouvement de masse. Ce débat était dur et épuisant.
                Et voilà que la semaine dernière, l'enchaînement de tous les éléments du débat restés jusque-là en suspens s'est précipité. Tout d'un coup, et je dis tout d'un coup parce que en l'espace d'un seul jour on a eu des rébellions décisives, l'isolement des "P. 38istes" est devenu évident. Pourquoi justement à ce moment-là ? Pourquoi pas avant ? Il ne suffit pas de dire que les événement de Milan ont impressionné beaucoup de gens, car ceux de Rome avaient été aussi impressionnants. Qu'est-il arrivé de nouveau et de différent ? Essayons d'avancer une hypothèse, en rappelant encore une fois qu'une explication n'explique jamais tout, mais fait partir d'un ensemble d'"explications étroitement imbriquées : une photo est parue.
                Dans la masse de toutes les photos parues, une, toutefois, a fait la une de tous les journaux après avoir été publiée par le Corriere d'informazione. Il s'agit de la photo d'un individu en cagoule, seul, de profil, au milieu de la rue, les jambes écartées et les bras tendus, qui tient horizontalement et avec les deux mains un pistolet. Sur le fond on voit d'autres silhouettes, mais la structure de la photo est d'une simplicité classique : c'est la figure centrale qui domine, isolée.
                S'il est permis (d'ailleurs, c'est une obligation) de faire des observations esthétiques dans des cas de ce genre, cette photos est l'une qui passeront à l'histoire et apparaîtront sur des milliers de livres. Les vicissitudes de notre siècle sont résumées par peu de photos exemplaires qui ont fait date : la foule désordonnée qui se déverse sur la place pendant les "dix jours qui bouleversèrent le monde" ; le milicien tué de Robert Capa ; les marines qui plantent un drapeau dans un îlot du Pacifique ; le prisonnier vietnamien exécuté d'un coup de pistolet à la tempe ; Che Guevara martyrisé, étendu sur le lit de camp d'une caserne. Chacune de ces images est devenue un mythe et a condensé une série de discours. Elle a dépassé les circonstances individuelles qui l'ont produite, elle ne parle plus de ce ou de ces personnages individuels, mais exprime des concepts. Elle est unique, mais en même temps elle renvoie à d'autres images qui l'ont précédée ou qui l'ont suivie par imitation. Chacune de ces photos semble être un film que nous avons vu et renvoie à d'autres films. Parfois il ne s'agissait pas d'une photo, mais d'un tableau ou d'une affiche.
                Qu'a "dit" la photo du tireur de Milan ? Je crois qu'elle a révélé tout d'un coup, sans besoin de beaucoup de déviations discursives, quelque chose qui circulait dans beaucoup de discours, mais que la parole n'arrivait pas à faire accepter. Cette photo ne ressemblait à aucune des images qui avaient été l'emblème de l'idée de révolution pendant au moins quatre générations. Il manquait l'élément collectif, et la figure du héros individuel y revenait de façon traumatisante. Ce héros individuel n'était pas celui de l'iconographie révolutionnaire, qui a toujours mis en scène des hommes seuls dans des rôles de victimes, d'agneaux sacrifiés : le milicien mourant ou le Che tué, justement. Ce héros individuel, au contraire, avait l'attitude, l'isolement terrifiant des héros de films policiers américains (le Magnum de l'inspecteur Callaghan) ou des tireurs solitaires de l'Ouest, qui ne sont plus aimés par une génération qui se veut une génération d'Indiens.
                Cette image évoquait d'autres mondes, d'autres traditions narratives et figuratives qui n'avaient rien à voir avec la tradition prolétaire, avec l'idée de révolte populaire, de lutte de masse. D'un seul coup elle a produit un syndrome de rejet. Elle exprimait l'idée suivante : la révolution est ailleurs et, même si elle est possible, elle ne passe pas à travers le geste individuel.
                La photo, pour une civilisation habituée à penser par images, n'était pas la description d'un cas singulier (et en effet, peu importe qui était le personnage, que la photo d'ailleurs ne sert pas à identifier) : elle était un raisonnement, et, dans ce sens, elle a fonctionné.
                Il importe peu de savoir s'il s'agissait d'une pose (et donc d'un faux) : si elle était au contraire le témoignage d'une bravade consciente ; si elle a été l'œuvre d'une photographe professionnel qui a calculé le moment, la lumière, le cadrage ; ou si elle s'est faite presque toute seule, tirée par hasard par des mains inexpérimentées et chanceuses. Au moment où elle est apparue, sa démarche communicative a commencé : encore une fois le politique et le privé ont été traversés par les trames du symbolique, qui, comme c'est toujours le cas, a prouvé qu'il était producteur de réel.
Espresso, 1977.
in La Guerre du faux, Umberto Eco

Stromae - Alors on danse

Tou toutou tou - Octobre 2010

dimanche 21 novembre 2010

l'équilibre perdu


 19 août : 
perdus mais heureusement on trouve ici toujours des mains amies pour vous relever.
Un site cool avec plein de portfolios de plein de photographes : http://www.photography-now.net/

Ouaa c'est chouette par ici, premier post donc avec une petite image de New Delhi...

samedi 20 novembre 2010


Estelle, parc de la tête d'or de Lyon, le 26 Juin 2010. Lever du jour.

vendredi 19 novembre 2010

Marion

lundi 15 novembre 2010

Nu Polaroid




Voici là première image d'une série de nus en Polaroid. Il s'agit pour le moment d'une image test. L'idée réside dans la surimpression, la volonté de ,malgré le nu, garder une sorte de pudeur, suggérer sans dévoiler.
Pour ce qui est de la plastique même de la photographie et de cette façon de la dégradé, j'ai du mal à l'expliquer... Il y a non seulement un coté graphique, mais aussi une volonté d'imposer une idée de chaos en opposition avec pureté du nu. Mais malgré ces explications, je sais qu'il y a encore autre chose qui m'a poussé à faire ces dégradations mais je sais pas quoi...

Coté Technique:
Mamiya RB 67, 128mm 1:5,6, dos Polaroid, Polaroid 669 périmé. Mélange de tungstène et de flash et utilisation de plusieurs filtres devant les sources et devant l'objectif de l'appareil.

dimanche 14 novembre 2010

En ce temps pluvieux...


Paris, janvier 2010
Julie



Quelque part du côté de Provins, le portrait de mes deux femmes au détour d'une rue...

Exposed Surveilled Voyeured







Voilà les photos du dernier shoot pour le concours Sony. Je ne sais pas laquelle des deux je vais utiliser, la première fonctionnant bien mais peut-être trop simpliste, trop linéaire tandis que la seconde met en scène quelque chose (une mise en scène justement) et porte plus à réfléchir sur notre processus d'auto-exposition (parfois volontaire, parfois exhibitionniste), sur la surveillance que le faux-doisneau (moi) met en scène mais dont il est finalement encore la victime et du voyeurisme que symbolise la foule entourant le faux-vrai-faux baiser (originel et original).
il y a dans le deuxième cliché quelque chose de l'arroseur arrosé, c'est le voyeur-vu, le surveillant-surveillé qui interroge le pouvoir qu'on peut avoir sur nos moyens de communication mais aussi sur notre rôle à nous, photographes, dans le processus étatique de surveillance de la population quand nous faisons un reportage ou même une mise en scène (comme c'est le cas ici, à tous les niveaux) : ne sommes-nous pas, dans une dialectique angoissante, les petites mains du pouvoir, les yeux qui partout traquent le réel et l'énergie par laquelle le pouvoir s'engouffre partout ?
ou alors je choisis de lier les deux photos et je les mets ensemble, côte à côte...

déséquilibre

13 juillet :
l'association de plusieurs photos, l'association de différences, d'inverses, de contraires, la création de tensions,
le déséquilibre, l'anti-symétrie.
les kurdes.

Tacheles, Berlin, July 2010.

samedi 13 novembre 2010

Intrusion dans l'intime












































Premier shooting du projet photo argentique ( le reportage) …
Pour l’instant ce sont les photos numériques faites pour avoir une trace numérique de ce qui a été photographié en argentique…
L’idée de la série est de montrer les personnes nues dans leur salle de bain. La salle de bain est un des lieux les plus intimes où l’on est le plus souvent seuls. Dans ce lieu de l’intime je confronte le modèle à la présence indiscrète de l’appareil photo. Le modèle choisit comment se montrer à l’appareil photo, se couvrir, s’exhiber, tourner le dos, erc…
ce qui m’intérésse avant tout est la position du corps du modèle comme un reflet de son état d’âme, comme une réaction a cette intrusion du photographe dan le lieu de l’intime…


Bon allez, je me lance. Jusque là je pensais que je me prenais en photo pour la commodité de la chose (je suis mon seul modèle à disposition même en pleine nuit). Ou alors ce n'était qu'une mauvais excuse parce que faire son autoportrait est souvent considéré comme une profonde marque de narcissisme. Mais au final, j'aime les autoportraits.
A la fac, on a étudié l'autoportrait et appris qu'il existe trois "moi". Celui que l'on voit, celui que l'on pense que les autres voient et celui que les autres voient vraiment. Il n'y en a qu'un que l'on ne pourra jamais vraiment connaitre et je trouve ça profondément perturbant.
Dans mes autoportraits, pas toujours de recherche de décor ou de pose mais juste "tiens, j'aime bien comme je suis coiffée aujourd'hui" ou "tiens, sympa ces fringues en fait". Juste un désir de saisir une émotion, quelque chose que je ressens à un moment donné.
Des autoportraits comme journal intime. En utilisant parfois du maquillage, des ambiances ou des vêtements qui, sur le coup, me faisaient penser à ce que je ressentais. Parfois même des mises en scène. Essayer de se comprendre soi-même et apprendre à s'aimer.

jeudi 11 novembre 2010

Wax Tailor @ Le Grand Rex. Last song, Last beat, Hysteria.


Voici le lien de mon site tout frais :
http://www.rodriguehuart.com/




dimanche 7 novembre 2010

La beauté la violence


Un morceau de vacances, en famille.

samedi 6 novembre 2010

Spleen...



Notes sur l'image:
L'appareil photo change le comportement du modèle. En effet, dès qu'un appareil photo est pointé sur une personne celle-ci adopte une attitude particulière, de façon simplifié on pourrait dire qu'elle pose. (D'où une question qui me vient par rapport au photo-reportage; dès qu'une photo est faite et que le sujet est au courant qu'il va être pris en photo, via la vue de l'appareil ou par l'avertissement du photographe, il adopte une attitude qui ne reflète pas ce qu'il aurait été au naturel et en cela ne doit on pas voir cela comme une forme de mise en scène?)

Cette photo est une recherche du moment où la personne arrête de poser pour redevenir elle même, avec son comportement naturel.
Il a fallu pour donner cette photo un shoot de 5 heures pour "épuiser" la modèle et c'est tout à la fin, lorsque je lui ai dit "C'est bon c'est fini", lorsqu'elle a arrêté de poser que j'ai pris cette photo.

Caractéristiques Techniques:
Mamiya RB67, 127mm 1:4, Fujifilm Neopan 400, un Flash + opalite sur la droite, réflecteur d' 1m de hauteur sur la partie gauche pour remonter le bas de la robe et le contraste au niveau de la main posée sur l'accoudoir.
Retouche pour enlever les poussière du scan et légère augmentation du contraste général avec une courbe.


vendredi 5 novembre 2010

Masques

jeudi 4 novembre 2010

Sony Picture

Photo Sony

Voici une ébauche de ma photo Sony. J'aimerais avoir vos avis!!!

Portrait 1920


Note sur l'image:
Cette image entre dans la démarche de photographies sur les années 1800 à 1950 et l'idéal féminin de ces époques.
Pour le moment les images sont réalisées en argentique, puis numérisées pour être par la suite reproduite via des tirages en Polaroid ou procédés anciens (autochrome par exemple), beacoup de boulot à venir donc.


Détails techniques:
Portrait fait au Blad 500CM avec un 80mm 1:2,8, avec de la REALA 120, un flash avec boite à lumière 120x60 sur la gauche et un réflecteur blanc en bas a gauche orienté vers le cou mais positionné de manière à renvoyer que peu de lumière dans le coup pour ne pas avoir quelque chose de trop bouché mais pas trop doux non plus.R
Retouche photoshop uniquement pour enlever les poussière apparues lors du scan.
Pour les détails du scan, Epson V500 (version antérieure mais de la même série), 1200dpi, en 48bits (16bits par couches en RVB)

lundi 1 novembre 2010

Exposed : Le baiser de l'hôtel de ville


L'idée était de reprendre la photo hyper connue de Doisneau pour la détourner : prendre un couple homo, donc "hors normes" et transformer les autres personnages en espions un peu vicieux.
Ce n'est qu'un premier jet, je voulais faire le dernier shoot ce week-end, peut-être en changeant un peu l'axe de prise de vue (il parait qu'on reconnait trop Doisneau, que tout est redondant, que je peux changer un paramètre sans perdre l'identification) : je prendrai de très haut comme une caméra de surveillance...
A voir.